Le 17 mai de chaque année se tient la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie. Cette année, cette campagne s’articule autour de l’identité ou de l’expression de genre, des dimensions de la personne qui ne devraient jamais remettre en question les sentiments de respect, d’acceptation ou d’amour auxquels elle est en droit de s’attendre, comme tout être humain.
Dans la vie de tous les jours, c’est possible de montrer son ouverture à la diversité sexuelle et de genre en adoptant un langage inclusif, par exemple, en demandant « es-tu en amour? » au lieu de « as-tu un chum » ou « as-tu une blonde ». On peut exprimer son désaccord devant l’utilisation des mots « fif » ou « tapette ». Également, on peut intervenir lorsque quelqu’un est la cible de moqueries parce que ses vêtements, ses goûts ou les émotions qu’il exprime ne correspondent pas à l’idée qu’on se fait de ce qui est « vraiment » masculin ou féminin. Ce sont autant de petits gestes qui peuvent faire une grande différence.
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