Contrairement à la vision souvent véhiculée, on peut agir sur plusieurs facteurs entourant le vieillissement. Par la prévention, l'autonomie fonctionnelle est préservée et la maladie est minimisée. Par la promotion, le soutien social est maintenu et le développement personnel se poursuit.
Les efforts du CEVQ se traduisent par des interventions cliniques et populationnelles, ainsi que par des activités d'enseignement et de recherche sur différents aspects du vieillissement :
- la santé et les conditions associées à la maladie,
- l'aménagement urbain et le transport,
- le rôle social,
- l'isolement,
- l'épuisement des aidants naturels.
Le CEVQ regroupe des personnes-ressources qui viennent de différents horizons : santé publique, université, institut, établissement et organisme. Les principaux partenaires du CEVQ sont l'Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés (IVPSA), l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), la Direction de santé publique et le Centre d'excellence sur la santé buccodentaire et le vieillissement (CESBV). Le CEVQ développe des volets complémentaires à ce qui est fait en santé publique. Ainsi, c'est grâce à cette équipe que la population bénéficie des conférences grand public Vieillir en santé.
En collaboration avec ses partenaires, le CEVQ cherche à améliorer la santé et le bien-être des aînés à travers diverses initiatives qui valorisent une image positive du vieillissement et à représentent les intérêts de cette population.
Conférences grand public Vieillir en santé.
Événements dédiés aux personnes âgées, à leurs proches et aux organismes communautaires visant l’autogestion de la santé grâce à des ressources et des outils innovants.
Promotion de la bientraitance et lutte à la maltraitance.
Initiatives mises en place pour sensibiliser et informer la population, former les professionnels, et accompagner les organisations dans leurs démarches pour agir avec bientraitance et contrer la maltraitance.
20 mars 2024 – Conférence la Fraude amoureuse : comprendre et intervenir auprès des victimes.
Par Sébastien Hébert, Conseiller stratégique volets maltraitance et nouveaux arrivants, migrants statuts précaires à la Division de la prévention et de la sécurité urbaine (DPSU) au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et Charles ViauQuesnel professeur à l’université du Québec à Trois-Rivières. Il est co-chercheur d’une étude portant sur les victimes de fraude amoureuse en ligne au Québec. Ses travaux sont financés par le Fonds de Recherche du Québec - Société et culture (FRQSC), le ministère de la justice du Québec et Justice Canada.
